Ecoute ce son, c'est ma musique, c'est ma vie. [Feat Gareki Teneshi]

Elle m'amusait, je savais qu'elle bluffait, je la connaissais maintenant.
Je souris et srcuta son visage.
-A toi, d'enlever ton soutif....
Lui lançais-je.

><.
Voilà le moment. Hm...
J'hochais la tête.
- Ouais, c'est égale.
Je réfléchis.
- Ah. Mais si tu me l'enlevais ?

Héhé, je crois bien que cette fille me plaisiat de plus en plus.
-D'accord.
Je souris
Avec mes dents et l'aide de mes doigts, je lui dégraffa le soutif'.
Il tomba au sl, et pour le moment, je ne voyais que son dos.
J'attendais qu'elle se retourne, qu'elle soit prete à ça.

Je rougis un peu [beaucoup !] et me raclais la gorge. Là, j'attendais une seconde, et me retournais vers Gareki, ne le regardant pas dans les yeux, trop gênée pour cela.

Je n'étais pas coincée. Mais bon, c'était la première fois pour moi, et ça restais quelque chose de gênant, mal grès la grande confiance que j'avais en Gareki.

Comme la fois précédente, je lui releva le menton, et la fit me regarder dans les yeux.
Je ne portais aucun jugement, et je pencha la tête, ne quittant pas ses yeux.
Je voulais qu'elle comprenne que j'attendrais qu'elle soit prête, même si ce n'est pas maintenant.
Je lui souris, rassurément.
Trois mots me virent à l'esprit, et quand je compris ce que j'allais dire, il était trop tard, il était possible que je me mange un vent, ou même une honte magistral, mais les mots j'aillirent, et je n'eut pas le temps de me taire.
-Je t'aime...
Lui-soufflais-je...

Lorsqu'il me prit le menton, mes peurs s'en allèrent de suite, et une sensation de bien être m'envahis.
Puis, il me regarda dans les yeux, et cette fois, je perçu une envie de dire quelque chose. Mais pas quelque chose de simple et normal, quelque chose de très spéciale. Alors quand il ouvrit la bouche, je fus immédiatement suspendue à ses lèvres.
- Je t'aime...
Il se passa quelques secondes avant que je saisisse le sens de cette phrase. Mais quand je l'eus enfin comprise, mon coeur fit un bons, et j'eus e reflex de porter ma main à ma poitrine, comme si mon coeur menaçait de la transpercer. J'écarquillais les yeux, et fixais le garçon. Ça aurait très bien pus être des bêtises, ou une phrase balancée comme cela... non. Ça ne pouvais l'être. Parce que je lus dans ses yeux une sincérité folle. Et je ne croyais que ce que je voyais. J’entrouvris les lèvres, pour dire quelque chose, mais les referma. Que devais-je répondre là ?
Enfaîte, j'étais la fille la plus heureuse du monde, mais j'étais tellement choquée que je ne savais pas comment faire pour répondre.
Alors. Je me collais contre lui, mon visage au dessus du cien. Et deux goutes de mes larmes tombèrent sur son visage.
C'était un peu bête de pleurer pour ça. Mais j'étais tellement heureuse... Tellement, tellement...
- Moi aussi, je t'aime, idiot. Lui répondis-je de ma voix superbe, l regardant de mes yeux brillant de mes larmes.

Au début, je m'en voulais de lui avoir dis ca.
Et si elle pensais que je lui vais dis cei seulement dans le but de coucher avec elle, pourtant c'était faux !
Je l'avais dis parce que c'était vrai, son parfum m'emplissai le nez, sa peau douce me rendais accro', ses lèvres parfaite me rendait dingue...
Bref, je tombais réelement amoureux d'elle, mais était-ce une bonne idée ?
Tant pis, je l'aimais et au moins, c'était dis.
J'attendais sa réponse avec stress.
Puis quelques gouttes tombèrent sur mon visage lorsqu'elle se rapprocha et qu'elle me dise :
-"Moi aussi, je t'aime, idiot"
Elle semblai heureuse, comme ci elle n'avait vécu que pour entendre cà.
Comme si nous étions forcemment fait l'un pour l'autre.
J'enfoui mon visage dans le creu de son épaule et de son cou, et embrassa la peau à cette endroit.
Puis du pouce, j'essuya ses larmes et lui souris.
-Ne pleurs pas, bébé.

-Ne pleurs pas, bébé.
Je le laissais essuyer mes larmes, et restait tout contre lui, reniflant doucement. Mes joues étaient redevenues roses, et mes lèvres avait prit une couleur très rouge à force d'être embrassées. Je me sentais bien, même très bien.
- Je suis désolée, je n'ai pas pus me retenir...
Je me frottais les yeux, à la façon d'une enfant comblée.
Je humais son parfum, et sût que jamais je ne l'oublierai. Mais comment oublier la douceur de ses lèvres, la tendresse de ses gestes, la chaleur de son corps, la beauté de ses yeux... Comment l'oublier lui même ?
Je me rendrais compte, que j'étais en vérité folle amoureuse de lui. J'avais cru qu'il ne s'agissait que d'amitié entre nous, mais si ça avait été le cas, alors je ne me serais jamais laissé embarqué dans cette histoire de jeu, jamais je n'aurai retenue chacune de se manies, jamais je ne l'aurai connu aussi bien, jamais je ne l'aurait aimé comme je l'aimais à ce moment là.

Je t'aime, Gareki.

Elle vait plongée son regard dans le mien, puis s'était blottit contre moi.
"- Je suis désolée, je n'ai pas pus me retenir..."
Je souris et lacha un petit rire léger.
Hum, étrange situation. La fille dont j'étais amiureux me pleurait dans les bras, alors que nous sommes à moitiés, voir totalment nu...
J'avoue, c'est marrant. Mais ce qui me rends heureux, c'est qu'elle est là avec moi, et que, c'est réciproque.

J'eus la même pensée que lui, et lâchais un petit rire. C'est vrais qu'on était tout les deux nus [enfin, moi, presque].
Mon désir me revint d'un coup, comme me sautant à la gorge, et j'eus un grand frisson.
- Gareki... Soufflais-je.
Puis, je le regardais dans les yeux, et dit de ma voix toute mignonne.
- Ce serait bien qu'on finisse notre jeu, et qu'on en commence un autre une fois qu'on est prêt. Tu ne pense pas ?
C'était enfaite une jolie métaphore pour lui faire comprendre que j'avais envie de le faire.

Quand elle ria, je compris qu'on avait pensés à la même chose. Ce qui accentua mon sourire.
Puis, elle souffla mon nom, et j'eus un frisson de plaisir.
J'aimais entendre mon nom dans sa voix magnifique.
Ensuite, elle me regarda dans les yeux et prit sa voix tellement adorable à laquelle je ne pouvais m'opposer.
- "Ce serait bien qu'on finisse notre jeu, et qu'on en commence un autre une fois qu'on est prêt. Tu ne pense pas ?"
Je lui tira la langue et pencha la tête.
Et je dis, d'une voix pleine de vie :
-Ben j'attends que toi, moi !
Puis je ris en lui décochant un clin d'oeil.

-Ben j'attends que toi, moi
Je ris un peu, et poussa un grognement sensuel.
- Allons y alors.
Sans lui laisser le temps de dire ouf, je me remis à l'embrasser fougueusement. Seulement, nos baiser étaient différents, il étaient plus que désireux seulement. Ils étaient un mélange sensuel de désir et d'amour passionné. Sans m'en rendre compte, je lui pris sa main, qui après l'avoir caressé lentement, posais sur mes fesses uniquement recouverte d'une culotte, dont je n'appréhendais pas le moment où je l’enlèverai.

Je n'eus pas le temps de dire ou de faire quoique ce soit, que déjà Emma reprenait les choses là où nous les avions laissées.
Elle me prit la main et la posa sur ses fesses, ce qui, à travers nos baisers, me fit sourire.
-Doucement....
Grognais-je.
Mais en vérité, je ne voulais pas qu'elle se calme !

Je souris à son grognement et sa phrase.
- D'accord. Je peux me calmer si tu veux...
je cessait de l'embrasser et de la caresser, le laissant me désirer tranquillement.

Je la regardais dans les yeux en riant.
-Ok, tu as gagnée ! Soupirais-je, amusé.
-Viens là. Lui murmurais-je ensuite, tendrement.
Souris-je, en l'attirant vers moi, l'embrassant tendrement.

Je souris, et lui laissais remettre sa main où il l'avait laissée.
Je lui rendis un baiser doux et sucré, et posais ma main sur la partie intime du garçon [ Quoi ? J'en profite ! ]

Tout d'abord elle m'embrassa tendrement aussi, puis elle en profita pour descendre sa main.
-C'est de la triche ! moi j'suis nu et pas toi.
Riais-je pour la taquiner.
Sa peau chaude contre la mienne, sa main... Bref on sait où et sa main ^^, son parfum et le fait que je l'aime me firent pousser un gémissement.

-C'est de la triche ! moi j'suis nu et pas toi.
Je ris et l'embrassais tendrement.
- Ca, ça peux encore changé. Je n'attends que ça...
Je l'entendis gémir et sur le coup je rougis.
Il était... Vraiment trop... Mignon...
- Mon diiiiieu ><

"Ca, ça peux encore changé. Je n'attends que ça... "
je souris et remonta ma main gauche jusqu'à se hanche, laissant la droite en place [xD], et je titilla l'élastique de sa culotte.
-Tu n'aurais jamais dûs dire ça. lui lançais, en tripotant toujours l'élastqiue.
Puis elle poussa un petit : "Mon diiiiieu ><"
-Qué pasa, querida ? ( Traduction ou pas ? Si oui = Que ce passe t'il, chérie ^^)

( Enfaite, j'avais jsut ebesoin de la trad pour querida, je connaissais pas. ^^ )

-Tu n'aurais jamais dûs dire ça.
Je souris, n'attendant que ça. Oh lala... Je devanis une méchante fille moi...
-Qué pasa, querida ?
Je caressais ses muscles du bous de mes doigts et lui lechais le cou.
- Mon dieu.... Tu es trop mignon >< . Je ferai jamais le poids ..

[ Aah ^^ Mais attention, Querida c'est dans la vieille langue espagnol, maintenant, "Chérie" " mon amour" ou quoi c'est Cariño xD mais je préfère Querida xD]

Je tirai encore sur les contours du dernière habit d'Emma en savourant le fait que cette fois, c'est moi qui la fesait patienter.
Je me mordis la lèvre inférieur en lui souriant, amusé.
Elle déplaçait son doigts le long de mes muscles et me lecha le cou.
J'en grogna.
- Mon dieu.... Tu es trop mignon >< . Je ferai jamais le poids .."
-Le poids contre ?

[ Merci du renseignement ! ^^]

Je frissonnais. Ah, le malin ! C'est lui qui me faisais patienté là... Ah. Et moi, j'étais loin d'être patiente. D'ailleurs, je ne l'avais jamais été. Déjà gamine, je me souviens que je piquais une crise quand il fallait attendre que le piano soit réparé...
- Le poids contre ?
Je penchais la tête sur le coté. Encore une fois, j'allais prononcé un mot qui n'existait pas.
- Contre ta ... Mignocité ? Mignonité ? Bref; T'es trop super mignon ><

Elle me fit rire, mais vraiment, j'étais vraiment aux éclats.
Cela faisait lontemps que je n'avais pas ris ainsi !
J'embrassa ses lèvres, très amusé.
-Biensûr que si. Il y a plus beau quoi moi, beaucoup plus beau. A commencer par toi.
Vu que le fait de patienté n'était pas son truc, je la laissa ttendre, tripotant l'élastique sans le bouger.

Je l'entendis rire, et me stopais dans mes conneries.
Ah.
J'étais si heureuse. J'étais tellement contente de l'entendre rire ainsi. Je me l'étais promis, de tout faire le voir rire comme cela, et j'avais réussi.
- Tu es un incorrigible flatteur. Lui dis-je.
Je frottais mon nez au sien, et grognais.
- Arrêtes de me faire attendre, méchant ><

"-Tu es un incorrigible flatteur"
Je souris.
-Je sais, merci.
Je fis une sorte de révérance mais vue que j'étais assis... Bref.

Puis elle frotta son nez au miens.
-"- Arrêtes de me faire attendre, méchant ><"
-C'est moi le méchant ? Tu mets ta main, bref disons en bas, et tu reste habillée. C'est qui l'méchant là ?
Je souria encore plus, lui prenant le menton entre mes doigts pour l'embrasser.