Ecoute ce son, c'est ma musique, c'est ma vie. [Feat Gareki Teneshi]

-Ouais, prends en soin, m'enfin, dans l'état où il est, il risque plus rien !
Je fronçais les sourcils.
- Comment ça "dans l'état où il est" ?
Je m'assis sur la scène. Je n'entendis pas la phrase du garçon, parce qu'a coté, j'entendis un son...
A coté, on jouait du piano.

Je vis que j'avais perdu la présence d'Emma et souris, allant m'assoir à coté d'elle.
A coté, effectivement, la musique était mélodieuse et belle, je devinais que le piano était un instrument qui plaisait à Emma.
je la regardais, elle vait les yeux brillant. De joie ? Ou de tristesse ?

Effectivement, mes yeux brillaient. Ils étaient même très brillant.
Enfaite, ils étaient un mélange de joie et de tristesse.
La joie d'entendre cet instrument si magique, que j'avais tant aimé, qui m'avais donné tant de courage, tant de force. Qui à chaque fois que j'en jouais, me rendais plus forte.
Mais aussi cette tristesse immense, de ne plus pouvoir en jouer.
Et cet instrument me rappelait tellement ma mère...
- C'est joli, n'est-ce pas ?Fis-je à Gareki.

La voix intante de pleins de sentiment mélangés d'Emma me firent sourirent.
"-C'est joli, n'est-ce pas ?"
J'acquiessa.
-Oui.
J'écoutais la mélodie un instant.
-Tu veux aller voir ?

-Tu veux aller voir ?
Je levais la tête vers lui, surprise.
- Oh... mais... On a le droit ?

Attends, Qu'est-ce que j'étais en train de faire ?

Je souris, sauta en bas de la scène, attrapa la main d'Emma et avança vers la sortie.
-Ben, on a coucher dans une salle de répét, alors on est plus à ça prêt ^^
Je ris doucement, et l'attendait, tenant toujours sa main.

- Ben, on a coucher dans une salle de répét, alors on est plus à ça prêt ^^
Je ris en attrapant sa main.
- idiot va ! ^^
Je remarquais un suçon sur son cou, et rougit.

Elle attrapa ma main et me suivit jusqu'à la porte et quand je me retourna, je la vis rougir.
Je ne compris pas, embrassa sa joue et poussa les grosse porte dans la nit, engouffrant l'air froid du soir dans la salle.
-Hum...
Je nous dirigea vers la seconde porte et attendit un moment devant, tellement j'adorais la sensation d'air froid sur moi.

J'attendis quelques minutes devant la porte.
Pars en courant !
Je levais mon poing pour toquer.
Ne restes pas là !
Et je toquais.
Non non !

a douce mélodie du piano ne s'arrêta pas, mais on entendis une invitation d'une voix masculine à entrer.
Trop tard...
Nous franchîmes la porte et entrâmes dans la salle, semblable à celle que nous avions utilisée pour... Travailler !

C'était un garçon de notre âge qui se trouvait derrière le piano à queue de cette sale. Il avait des cheveux roux, et jouait merveilleusement bien. il s'arrêta lorsque nous entrâmes.
- Ah ! Bonjour ! Nous lança-t-il.
Je fis un signe de la tête, fixant l'instrument. Mes yeux redevinrent vides.
- Je suis Eliot. Et vous ?
Je ne répondis pas.

Brutalement, Emma devin... Vide ?
Je ne compris pas.
Ma main tenait toujours la sienne, et je la scrutait, iquiet.
Elle semblait, comme déçue.
Pour ne pas mettre un vent au type, je m'avança.
-Euh..
je me grattais l'arrière de la tête, géné.
-Salut, désolé, on s'en allait..

-Salut, désolé, on s'en allait..
Eliot fronça les sourcils, et parut étonné.
- Ben ! Attendez ! Vous venez d'arriver !
J'hochais la tête et trouvais la force de parler.
- Tu joue très bien. Dis-je seulement, d'une voix différente que ma mielleuse.
Il souris, et s'assis à son tabouret.
- Merci !
Je scrutais l'instrument, de mes yeux cruellement vides et noirs, plus du tout bleus.
- Tu sais en jouer ?
J'eus presque un mouvement de recul face à cette question, mon coeur s’accéléra.
- Si...Si...Je sais... En jouer ?
Il hocha la tête, me trouvant bizarre sans doute, il y avait de quoi.

Je n'aimais pas la voir ainsi, même si je ne savais pas ce qu'il çe passait dans sa tête.
je la vit reculer et avoir du mal à parler.
D'ailleurs, même sa voix était différente.
De plus, l'autre Gus commençait à me gonfler royalement.
J'inspira et soupira un coup, m'adossant à la porte, mon air blasé sur le visage.
Je redevennait le Gareki dû et froid.
-C'est pas qu'on a autre chose à fo*tre mais un peu...
Grognais-je, dams ma "barbe", pour ne pas vexer l'autre type.
Après tout, c'était à Emma d'en juger..

-C'est pas qu'on a autre chose à fo*tre mais un peu...
Eliot leva un sourcil et me souffla.
- Il est pas un peu bizarre, ton frère ?
Je levais le regard vers lui, mon regard sans aucune expression. Et même si j'étais étonnée, rien ne se voyais sur mon visage. J'étais aussi expressive qu'une statut de pierre.
- Hm. Ce n'est pas mon frère.
Eliot haussa les épaules.
- Ouais. ben il est bizarre/
En temps normal, j'aurai trouvé Gareki trop mignon, et comme d'habitude, aurait fait tout sketch sur le fait qu'il l'était.
Mais là. Rien. Pas de rire, même pas de sourire. Je n'étais plus Emma.
- Tu sais en jouer ou pas alors ? Insista Eliot.
J'avançais à travers la pièce et posa ma main sur la touche, un son doux et parfait se produisit. Je fixais le clavier.
- Oui.
Elliot sourit.
- Super ! Dis, tu pourrais m'aider, j'essaye en vint de jouer ça !
Il me tendit une partition, je la lu.

// Baaam //

Mon coeur fut comme déchiré, je laissais la partition tombée à terre, et tombait de ma hauteur. Aucune larmes ne prit place sous mes paupières, et ça, c'était mauvais signe.

Je grognais, ayant entendu les remarque du p'tit roux.
Son frère ?! Mon sang boullait mais j'enfonça mes mains dans les poches de mon jean, me taisant, pour Emma.
Mais je lachais tout de même un :
-Je t'e*merde --"
Bah quoi ? Biensûr que je l'emme*de, et avec le sourire en plus !
Emma ne réagissait plus.
Il était lourd en plus à insister !
Elle savait en jouer ? Visiblement, oui.
Un court instant, Emma lu la partition

...

Emma et la partition tombait ausol.
Mon premier reflèxe fut d'avancer vers elle, mais la "blessure " que lui cosait le mot piano semblait profonde.
Je monta doucement sur la scène et m'accroupis devant elle.
Je ne voulais pas la prendre dans mes bras, parce que là, c'était différent, je savais que dans ces moments là, on à besoin de rien d'autre que d'échapper à ses souvenirs.
Si elle souhaitait que je l'aide, je l'aiderai, mais je ne voulais pas me mêler de ce qui ne me regardais pas.
je posais mon regard dûr, fait d'acier, d'or, de rouge et de tellement d'autre teinte sur le roux.
°Bouge de là, non ?°
pourtant je me tus, le fixant seulement, dans l'éspoir qu'il comprenne.

J'étais par terre, à genoux, horrifiée.

Ludwig van Bethover, für Elise.

Le bon dieu voulait me tuer ou quoi ? Qu'avais-je fais pour mériter cela ?
j'avais l'impression que mes genoux étaient profondément encrés dans le sol, et que je n'arriverai jamais à les soulever. Maman... Mon dieu... Cette musique était tout, la cause de ma douleur. Je me souvient, qu'après l'incident, j'ai jeté tout mes CD's de musique, toutes mes partitions, et même mon synthé... Mais els souvenirs sont restés, là, profondément dissimulés au fond de mon coeur.
Il m'empêchaient de vivre, ces souvenirs...

Comment faire ?

Le regard sombre, je me levais, lentement, très lentement. Puis j'avançais juqu'au piano, le palpait de mes doigts fins et m'asseyait sur le tabouret.

Qu'étais-je en train de faire ?

Je sentait les touches noires et blanches sous mes doigts, et savais exactement où je devais les poser. Depuis tout ce temps, je n'avais rien oublié.

Je ne voulais essayer de le rejouer, juste une fois.

[Musique d'ambiance]

Et je commençais à jouer, y mettant toute cette haine, qui depuis 7 ans, croupissait en moi, toute cette tristesse, que j'avais accumulé, sans jamais pouvoir m'en défaire, toute cette joie, que j'avais eue avec toi, Gareki, tous ses fous rires...

Merci pour tous.

Elle fini par se relever, sans dire un mot, ans un regard et avança jusqu'au piano.
J'inspira un coup, m'assis en tailleur et la vit toucher le piano.
Ses doigts dançaient sur les touches, et je l'observais, fasciné.
La musique était magnifique, puissante, vibrante.
Impressionante.
Je ne savais pas pourquoi, mais apparament, Emma y méttait tout son coeur, son être et son âme.
Elle se dévouait pour sa musique, pour une raison qui la motivait.
Je souris, et laissa la musique berçer ma tête.
Elle jouait et je le voyais penser à la fois.
Je ferma les yeux.

Il le fallait.
Il a fallait que pendant 7 ans, je souffre de l'absence de cette musique pour que je puisse aujourd'hui en pleurer de bonheur ? Il fallait que j'en oublie corps et âme dans mon sentiment entêté de tout oublier ?
Mais fallait-il vraiment que je m'oublie moi même ?

Le piano, c'est ma vie. Oublier le piano, c'est oublier de vivre pour moi.
Il me donne la force de lever la tête, toujours plus haut et d'oser crier fort ce que je ressens, il me donne la force de rire toujours, et de ne plus pleurer.
Oui. Il fait s'envoler ma colère et ma rancune, sèches mes larmes d'aveugle à la recherche de lumière, me fait ouvrir les yeux, une bonne fois pour toute.

Je sais désormais, que si je suis troublée, perdue, je retrouverai toujours mon chemin, ici.
Tout contre ton coeur, musique, emporte moi.


Le morceau se termina, je rouvris les yeux que j'avais fermé sans m'en rendre compte.
Je n'avais pas pleuré, mais mes yeux bleus brillaient de mille feux.

Je m levais, doucement, et rejoins Gareki, je le serrais contre moi.
- Je t'aime... Je t'aime tellement... Si tu savais comme je t'aime !

Emme semblait plongée dans une étrange réflexion.
Elle avait les yeux fermés, mais son visage traduisait toutes sortes d'émotions.
Je rouvris les yeux à la fin du morceau.
Elle s'approcha de moi, et me serra contre elle.
La musique lui avait fait un bien fou, et je fûs surpris de la voir tellement bien.
"- Je t'aime... Je t'aime tellement... Si tu savais comme je t'aime !"
Je dus l'avouer, je ne m'attendais pas du tout à ça.
J'ouvris la bouche pour répondre mais ma voix reffusa de sortit.
Qu'aurais-je pus dire d'aussi beau ?
Je la serrai à mon tour et souffla un faible :
-Moi aussi...
Ma réponse était miable, certes, mais que répondre quand on est prit de cours, quand tout ce qu'on ressens s'entre choque bioellement dans notre corps, dans notre tête.
J'étais perdu, enfaite, ouais c'était ça. Perdu.

Perdu.

Trop de fois j'avais était dans cette état, mais jamais pour de bonnes raisons, sauf là.
perdu, oui.
Perdu dans l'amour que je portais à Emma.

-Moi aussi...
Non, cette réponse me convenait parfaitement. Elle était parfaite. Parce que finalement, ce qui comptait, ce n'était pas la phrase ou les mots utilisés, mais le sens de la phrase. En l’occurrence, celle ci voulait dire "moi aussi je t'aime", c'était donc parfait.
Je sentais le début de nouveaux défauts qui allaient s'installés en moi, tels que : la jalousie et la possessivité... Hum. J'espère qu'elle ne m'affecteront pas trop. Mais bon, ses défauts sont aussi une preuve d'amour, non ?
Et puis, je n'avais jamais eue de véritable petit copain, ma plus longue relation avait durée 1 semaine... Alors, il serait normal que je sois possessive, parce que Gareki serait mon tout premier... mon tout premier quoi ? Petit copain.
Ah ! Je l'aimais à un point inimaginable. C'était bizarre, de passer de l'amitié à l'amour, comme cela. Mais je n'aurais supporter plus longtemps de ne pas pouvoir l'embrasser, un désir qui me brûlait les lèvres depuis longtemps déjà.
Et désormais, c'était fait, je me trouvais dans les bras de Gareki, je pouvais entendre les battements de son coeur, et sentir son souffle sur ma nuque. J'étais prête à tout faire pour lui, tout. Tout lui donner, tout lui céder.
Je remarquais qu'Eliot était partit, sans doute trop trouillard pour intervenir, j'haussais les épaules, parfait.
Je me mis sur la pointe des pieds, Gareki était vraiment immense, et scellais nos lèvres en posant une main sur sa joue.

Emma se mise sur la pointe des pieds et m'embrassa.
Encore une fois, je ne m'y attendais pas tellement, mais je ui rendis son baiser, distrait par l'image d'elle jouant du piano.
Elle vait semblée être dans une telle réfélxion !
J'en avait eûs le souffle coupé.
Mais on était qoi au juste ? Un couple ? des sex-frinds ?
Parce que je ne savais vraiment pas...
Mais étais-je seulement capable de me remette dans une situation sérieuuse ? je ne savais pas trop..
j'avais tellement souffert Ocarina.

Personnellement, je me considérais comme en couple avec Gareki, mais peut être pas lui ?
- Dis. Tu nous considère comme quoi là ?
Je redoutais sa réponse, de peur de me faire de fausses idées. Oh dieu ! J'espère ne pas m'en faire !

Vu qu'elle était plus petite que moi, je baissa la tête vers elle et sourit doucement, l'attira vers moi et embrsant son front.
-Je ne sais pas... Un couple ?
Je voyais bien dans ses yeux que c'était ce qu'elle éspérait, et puis, je le voulais aussi au fond de moi.
Je tentaisle coup, au pire, je finirais comme la dernière fois...
Bref, je srcuta ses yeux bleus azuret y chercha une intincelle ou quoi.

-Je ne sais pas... Un couple ?
Je fis un grand sourire et mes yeux azurs se mirent à pétiller de mille feux. Non, je ne m'étais pas faites d'idée ! Oh, mon Gareki !
Je me serrais fort contre lui, mon gros nounours.
- Oui ! ^^

Ses yeux se mirent à briller et elle se serra tout contre moi.
Je l'enlaçais timidement.
Ma réponse semblait la ravir et un sentiment de bien-être s'installa en moi.
°Advienne que pourra.°

Mon ventre gargouille et je grimaçe.
-Je vais nous chercher un truc à manger, je reviens bébé.
J'embrasse son front et saute souplement de la scène pour sortir dans le jour naissant.