Ecoute ce son, c'est ma musique, c'est ma vie. [Feat Gareki Teneshi]

Je me répète, je le sais : Mais avec elle c'est différent !
Toute ma gêne disparais, mais je la repose quand même, embrassant son front, un signe affectueux que je ne fais qu'a mes deux frères et soeurs, signe que je les protègent; ....
Elle sourit et rit, visiblement heureuse, et je repose l'instrument, m'asseyant sur le bord de la scène, les jambes dans le vide.

Je n'hésitais pas une seconde, et m'assis près de lui, là, je lui attrapais le menton et lui tournais le visage vers moi, fixant ses yeux incroyablement beaux.
- Comment se fait-il que je vois autant de choses dans tes yeux ?

Elle s'assise à côté de moi presque tout desuite après moi.
Je lui souris et elle chope mon menton entre ses doigts fin.
"- Comment ce fait-il que je voie tant de chose dans tes yeux ?"
Sa phrase fait vrombir mon coeur, et je souris, joueur, rapprochant un peu plus mon visage du siens, nos nez se touchant presque :
-Et qu'est ce que tu y voies ?
J'ai un ton joueur, un sourire joueur, celui quui fait craquer tout le monde, celui en coin, un demi sourire en coin...

Ah ! C'est pas vrai ? Je rêve ?!
J'ai vraiment dis ça à voix hautes ?! Ah, mais quelle conne !

Cependant, sa réponse me satisfait tout à fait, et m'étonna d'autant plus.
Je pouvais désormais sentir son souffle chaud sur mon visage et c'était une sensation toute nouvelle pour moi, que j’apprivoisais lentement.
-Et qu'est ce que tu y voies ?
Il fit un petit sourire joueur, que j'adoptais tout de suite dans ma collection de mes sourires préférés chez lui.
Je répondit à son sourire par l'un des miens, le plus mignon que je puisse faire en le contrôlant.
- Tellement de choses... Ce que tu ressens, et c'est très bizarre, de comprendre d'un seul regard tes sentiments, ça ne m'était jamais arriver. Mais je vois aussi ce que moi, je ressens, et c'est... C'est...
Je fixais sa pupille, et bizarrement, je n'arrivais pas à trouver les mots, ma voix divaguait, enfaîte, je venais de me perdre dans ses yeux.

Elle semble apprecier mon sourire de "Beau gosse bad boy" et je le sais, parce que je le voie dans ses yeux.
Son souffle sur moi me rassure et me fait frissoner.
Emma semble légèrement nerveuse, ce qui accentue mon envie de jouer avec elle.
Je m'approche de quelque millimètres de plus, nos nez se touchant cette fois;
-Et c'est ?
Tout ce qu'elle viens de me dire est encré dans ma mémoire à jamais, c'était beau et fort, il y avait ce lien entre elle et moi, ce lien qui rendait tout plus extrême ensemble.
Je conaissais la fin de la réponse mais je la taquinait.
J'accentuai mon sourire aguicheur.

- Et c'est ?
Je n'arrivais pas à répondre, pas à finir ma phrase, perdue dans ses yeux magnifiques, noyée dans la couleur or de ceux ci.
- C...C'est...
je cherchais en vain des mots qui pourrais m'aider, mais rien. De plus, il se rapprocha encore de moi, ce qui accuenta mon stress.
- C'est... indéfinissable.
J'avais enfin quitté son regard, si je ne l'avais pas fait, je n'aurai rien pus ajouter.

Hum, oui c'était tout à fait cà.
C'était indéfinissable.
Son regard azur quitta le mien, ce qui me fit perdre un peu de mon sourire, mais en tant que bon acteur, je ne trahis pas ma deception.
Elle n'avait pas reculée son visage, bon signe ?
Pourquoi avais-je se besoin de la voir rougir, ce besoin entêtant que ce soit MOI qui la fasse rougir ?
J'eut une idée : Je me rapprocha encore, et là nos lèvres étaients très proches, dangeureusement proche, et au lieu de ce que tout le monde attends, non, je ne l'embrassa pas mais murmurra un "Ok" sur un ton irrésistible, mon sourire toujours idem, sauf qu'il était sincère, je ne jouais plus tellement enfaite...

- Ok.
Ses lèvres n'étaient plus qu'a quelques centimètres à peine de les miennes.
Les joindre m'aurais permis de ne plus souffrir.
Je me sentais faiblir quand j'approchais un peu mon visage.
- A...Arrêtes. m'ordonnais-je à moi même.

Je crois que c'était inconsciemment, mais son visage s'approcha du mien, l'écart ne se comptait plus en centimtres mais en millimètre.
Mon souffle était rocque, comme, un peu affolé.
°Contrôle-toi, Gareki ^^°
Elle murmurra ensuite un arrête hésiant, et je m'immoblisa, tendue.
Elle me l'avait dit à moi ? Mer*e, j'avais carrément mer*é!

Je plissais les yeux, et décidais de me laisser faire.
Après tout, je souffrirai d'avantage si je luttais, alors autant abbandonné.
- D'accord, tu veux jouer.
Je le fis basculer en arrière, et me mis sur lui, là, j'approchais mon visage du cien et repris les millimètres qui nous séparaient.

Ok, elle m'avait bien eut.
Je fûs pris au dépourvue et me retrouva sur le dos, Emma sur moi
-"D'accord, tu veux jouer"
Je sourias, toujours en mode "beau gosse Bad boy", et décida de jouer avec elle aussi, mais plus sérieusement.
Je posa donc mes mains sur ses hanches.
-Oui, je veux jouer, que proposes-tu ?
Répondis-je, toujours sur ce ton provoquant, tout en murmurrant à demi.

Je frissonnais en sentant ses mains sur mes hanches. Je laissais paraître pendant une demi seconde ma surprise, avant qu'elle disparaisse pour laisser place à une expression de malice.
- ce que tu veux. Fis-je en posant mes mains sur ses cuisses.

Je lue la surprise dans ses yeux, amusé.
Quand sa main se posa sur ma cuisse, je frissone de plaisir aussi.
Ce que je voulais . C'était dangereux de dire ca :
Je m'appuya sur mes coudes ce qui eut pour effet de me relever le torax et de la faire reculer de ce fait.
Je sourais toujours quand je posa ma main sur sa nuque, la regardant dans les yeux.
-Ce que je veux, tu es bien sûre ?
Je vis aussi de la malice dans son regard, et il y envait surement dans le mien.

Je continuais de sourire malicieusement.
- Oui, je veux ce que tu veux. Fais ce que tu veux.

Parfaite, sa réponse était parfaite, ainsi qu'elle d'ailleurs.
Je perdis mon sourire volontairement, et lui glissa doucement sans la perdre des yeux :
-C'est toi, que je veux...
Et je repris mon sourire provoquant, la souleva doucement pour qu'elle soit à califourchon sur moi et la retourna, pour que son dos soit au sol et moi sur elle, appuyé sur mes bras, posé aux deux côtés de sa tête.
Avant de bouger ou de dire quoique ce soit, je me plongea dans son regard, et attendis d'y voir sa réaction.

-C'est toi, que je veux...
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine et se mit à battre rapidement. J'écarquillais mes yeux claires et entrouvrit mes lèvres douces. Sa réponse m'avait totalement surprise, n'imaginant pas qu'il irait jusqu'a me dire ça.
Je rougis énormément et avant de pouvoir dire quoi que ce soit, je me retrouvais sous lui, telle une petite chose faible et fragile.
Cependant, je ne bougeais pas, respirant lentement, et essayant de garder mon calme en apparence, même si à l'interieur de mon corps, mon coeur battait à tout rompre.
- Ben alors prends moi. Lui répondis-je.
Je voulais voir sa réaction à cette phrase.

Quand j'vous dis que cette fille me rends fou, c'est pas un mensonge !
Elle sais exactement quoi me répondre, quoi faire, comment réagir pour éguiser d'avante ce désir que je n'assouvis pas pour le moment.
Je me penche un peu plus, près d'elle et sourit, la regardant dans les yeux.
J'y vois sa surprise et le fait qu'elle ouvre ses lèvres douce et ddélicieuse, puis je vois aussi qu'elle appréhende ma réaction, j'avooue, je ne sais pas exactement quoi dire : je suis perdu.
Est-ce vraimen résonnable de faire ça ? Ne vais-je pas le regretter ?

....

Aah ma chère conscience, met la en veilleuse, tu sais à qui tu parle ? Ouais, à Gareki, et Gareki, se fou de toute ses bonnes pensées !
Je me penche encore, et là, j'embrasse ses lèvres avec une douceur que je ne me connais pas.

Un éclair foudroyant me frappa, comme un éclair dans le brouillard, mes muscles se tendirent sous l'immense surprise et la joie.
Il venait de ...?
Mais pourquoi est-ce que je ne le repoussais pas ? Pourquoi l'accueillais-je avec une immense douceur ? Pourquoi mes bras le serraient très fort contre moi, avec la plus grande des douceurs ? Pourquoi répondais-je à son baiser ?
Trop de question, pas de réponse.
Et si je n'avais pas de réponse, c'est parce qu'il n'y en avait pas.

Parce que c'était lui, parce que c'était moi.

C'est tout. Il n'y avait rien à comprndre, juste à savourer le gout de ses lèvres douces sur les miennes, et à verser une petite larme, qui naquit sous mes paupières, qui vivait sur ma joue et mourrait au coin de mes lèvres.

- Gareki...

Non, je n'arriverai jamais à le dire.

Entre nos baiser, mon souffle effréné, le tambourinemment de mon coeur dans ma poitrine, de ses bras autour de moi,
J'eut du mal à entendre mon nom dans sa voix. Souhait-elle que je m'arrete ?
Elle répondait à chacun de mes gestes, de mes mouvement, de mes baisers.
Elle avait aussi son coeur qui battait contre mon torse.
J'avais les mains qui tremblaient, mais rien à faire je continuais.
J'embrassa son cou, la ligne de sa machoire, ses lèvres, son épaule...
Qui ferait-le premierpas pour aller plus loin, je la mettais au défi et plaça, entre mon souffle et mes baisers :
-Montre moi de quoi tu es capable...
Toujours sur ce ton rieur et provoquant, accompagné du sourire qui va avec.

Joue.
C'était un jeu. Assez ridicule et puéril, quand on y réfléchissait bien. mais c'était l'un de mes jeux favoris désormais, du moins, quand je le pratiquait avec Gareki.
Il m'embrassa un peu partout, et chacun de ses baiser me fit frissonner de ... Désir ?
-Montre moi de quoi tu es capable...
Je rouvris mes yeux, que j'avais refermé depuis qu'il avait joint nos lèvres et le regardait dans les yeux.
Avant de jouer, il me fallais une seconde de pause.
PAUSE.
Est-ce que je pouvais prendre le risque de faire des bétises avec lui ?
Oui.
Est-ce que je pouvais oser aller plus loin ?
Oui.
Est-ce que je ne risquais rien ?
Oui.
PLAY.
Je me jetais sur lui et transformais le baiser en un baiser langoureux et beaucoup plus marqué de désir.

Je souris à travers les baisers torrides de ma partenaire, et la serrait un peu plus contre moi.
Elle semblait heureuse, ou plutôt, en confiance avec moi, ce qui accentua encore plus mon désir d'elle.
J'embrassais encore son cou, déssinant des cercles dans son dos avec le bout de mes doigts, ayant la mains plaqué contre sa colonne, sous son tee-shirt.
Jusqu'où était-elle prête à aller ?
Nous nous étions redressés et maintenant, nous étions assis, elle sur moi, et le dos cambré.
Emma provoquait en moi un désir incontrolable, je ne répondais surement plus de mes actes à l'heure qu'il est, quoique...
J'étaus encore assez conscient pour ne pas aller trop loin si elle n'en avait pas envie.

J'avais toujours rêvée d'un jour où je ferai ça. Mais jamais je n'aurai penser le faire maintenant.
Chacun de ses gestes le rendait tellement désireux, et je le ressent&ais enfin : l'immense désir pour lui.
Jusqu'où j'étais prête à aller ? Oh. Avec lui, je crois que j'irai sans problème jusqu'au bous.
Je me stoppais cependant pendant quelques secondes, pour être sûre et certaine que je ne le regretterait pas. Je croisais le regard or de Gareki, le fixais quelques secondes. Non, enfaite, j'avais une immense envie d'aller plus loin, tout simplement parce que je le désirais comme personne d'autre.
Je posais une main sur le dos du garçon, puis la passais sous le t-shirt de celui-ci, caressant sa peau chaude. Ensuite, je fis passer ma main à l'avant et caressais son torse.

Elle s'était stoppée et avait scrutait mes yeux.
Si elle ne voulait pas aller plus loin, c'était le moment de le dire, parce qu'ensuite...
Tout ceci me fit penser à une chanson que je conaissais et que j'adorais jouer à la guitare, et même, à chanter.
"Taste your lips and feel your skin.
When the time comes, baby don't run, just kiss me slowly"
La chanson défilait dans ma tête, tandis qu'elle glissa sa main sous mon tee-shirt et qu'elle y promena sa main.
Je l'embrassais avec désir et enleva mon tee-shirt, puisque telle était sa volontée...
Je gardais mon demi sourire lorsqu'elle me regardait...

Je le vis enlever son t-shirt, et mon sourire s'élargit encore.
Une fois qu'il fut tout à fait torse nu, je me mis contre lui, et promenais ma main sur ses abdominaux. Là, j'eus l'envie folle de le faire frissonner de désir, encore et encore.
Je voulais qu'il me désir comme je le désirai...
Pour ça, je passais ma langue le long de ses tablettes de chocolat. et je me mis à frissonner moi même.
Mon Dieu, quelle folie...
Mais j'en avais tellement envie... je voulais qu'il me touche, qu'il m'embrasse, encore.

Emma promena sa langue le long de mon torse et j'en frissonna de plaisir et d'envie.
Je sourit et embrassa son cou, son épaule...
Elle en frissonnai aussi et je promenai mes doigts le long de son dos et de son ventre, sous son tee-shirt.
Si jamais quelqu'un entrai maintenant, on était mal, mais qui pourrez se ramner, et de toute façon, je ne laisserais personne entrer.
J'étais torse nu au milieu de la salle vide, raisonnant de nos bruits, de nos souffles saccadés...