Ecoute ce son, c'est ma musique, c'est ma vie. [Feat Gareki Teneshi]

L'air de dehors s'était affreusement rafraîchis, et j'avais claqué des dents, même avec la présence de la veste de Gareki sur mes épaules.
Gareki...
Il avait été adorable avec moi, vraiment, ça faisais longtemps que personne ne l'avais autant été pour moi.
J'espérais qu'il ne sois pas resté dehors, il devait avoir froid, je lui avais pris sa veste, ah quelle débile !
Mais peut être était-il trop gentil avec moi ? Peut être avait-il tords de l'être ? Je ne suis pas extraordinaire... Je n'ai rien à lui offrir... je...
Mais attends ?! Pourquoi il faisais tout ça pour moi enfaîte ?
J'avais tellement froid que j'étais rentré par la première porte que j'avais vu, celle de la salle de répétition n°3.
J'avais haussé les épaules, dans mon monologue interieur et avait contemplé la pièce.
Elle était montée en hauteur, comme une scène, il s'y trouvait : une guitare, une régie, un vidéo projecteur, des instruments à cuivres et à vent. Et... Un piano.
J'avais hésité à sortir, mais bon, j'étais tellement frileuse...
Alors, j'avais marché un peu, jusqu'a une chaise où je m'étais assise. Mais je n'arrivais pas à décrocher mon regard de l'instrument à queue qui se trouvait tout près de moi. Je m'étais mise à suer, et à respirer bizarrement.
Il fallais que je le touche...
Je m'approchais de l'instrument, pas à pas, et finis par m'asseoir sur le tabouret. Le monstre était devant moi, prêt à être utiliser, pourtant, je n'osais le toucher, comme si il allait me mordre.

Non ! Je ne veux pas souffrir d'avantage !

Je m'arrêtais et me levais, traversant la pièce en courant, et m'asseyant plus loin, en pleurant.

J'avais traversé la cour. Pas d'Emma.
Je sortis alors mon téléphone de ma poche et lui envoya un sms.
"T'es où ?
~ Gareki"
Puis, je m'étais assis sur le banc, pour enfin m'avancer vers une salle éclairée.
La salle de répet' n°3.
J'en poussa les porte, et ne vis pas Emma dans le fond.
Ebahi, je m'avança jusqu'à la scène et grimpa sur celle-ci, effleurant du bouts des doigts la guitare sèche.
Hum, interessant. Je la soulevai et commença à grater quelques notes au hasard, fredonnant une chanson dont j'avais appris les paroles pour Tsubame qui adorait cette musique "She will be loved".
Puis j'entendis des petits bruits de sanglots vers le fond et leva les yeux, stoppant net ma chanson.

Je n'entendis pas Gareki entrer dans la salle, prise de remords fous, qui me hantais l'esprits.
Pourquoi est-ce que j'avais voulu toucher ce monstre ? Ce piano !
Je me remis à pleurer plus fort, ne remarquant pas la présence de Gareki à travers mes sanglots.

Mes yeux se posèrent instantanémment sur Emma qui pleurait.
Fronçant les sourcils, je reposai l'instrument, sautant à terre et allan vers mon amie.
Je m'approcha doucement d'elle et m'agenouilla en façe d'elle.
-Emma, qu'est ce qu'il y a ?
Je tentai de garder mon sang-froid, mais à l'intérieur, j'étais paniqué !
Quelqu'un lui avait fait du mal ?
C'était-t'il passé quelque chose de grave ? Si oui, quoi ?
Mes mains qui étaient devenu deux poings tremblant.

Même si nous étions à l'interieur, il y avait comme un vent glacé qui creusait mes clavicules et me faisait hurler à l'intérieur, devenir folle, comme prise au piège dans une cage.
C'est pour cela que quand j'entendis la voix familière de Gareki que je reconnue de suite, je lui sautais directement dans les bras en pleurant encore et encore.
Mes mains fragilisées par la peur le sérrèrent autour de la taille, je pleurait, en essyant de retenir mes larmes.
- G..Ga...Gareki...!

Quand elle ouvrit ses yeux je vis... Oh mon dieu, je ne vis qu'un...
Puit de Terreur.
Elle se jeta contre moi avant que je ne puisse faire quelque chose, mais elle me sera et je ne la rejeta pas.
Au contraire.
je ne comprenais pas ce qu'il ce passait.
-Chut, Emma, ça va aller. Je suis là maintenant.
Mes yeux restaient grands ouvert, perdue dans le noir.
Mes mains étaient réstés de boules tremblantes, autour d'Emma.

Mes yeux n'arrêtais pas de verser des larmes, je les sêchais dès qu'elle apparaissais.
- G...Gareki...
Je répétais ce nom plusieurs fois, ça me faisais du bien.
-Chut, Emma, ça va aller. Je suis là maintenant.
J'hochais la tête et me serrais contre lui. je ne voulais plus le quitter, je ne voulais pas qu'il parte. J'avais l'impression d'être une loque incapable de se débrouiller seule. Seulement ça, ce 'était pas nouveau. J'ai toujours eue besoin d'un appuis, mais jamais n'en ai eue des solides...

Tu es tellement important pour moi...

- J...J'ai eue tellement peur que... Que je me suis mise à pleurer... J..Je suis désolée, je suis ridicule... T..Tu n'est pas obligé de t'occuper de moi comme ça, je suis un peu bête, tu avais sûrement quelque chose à faire...
Lui dire ça me brisais le coeur, parce qu'en vérité, je ne voulais pas qu'il parte, je voulais resté près de lui.
Oh non... je devenais collante...

Il finira par me détester...

Emma semblait si mal !
Mais bon sang ! Que c'était t'il passé ?
Je m'en voulais de l'avoir laissé seule !
°Tu n'est qu'un abrut*t, Garki !°
Elle pleurait, et sechait ses larmes en prononçant mon nom.
Mon coeur se serrai.
"- J...J'ai eue tellement peur que... Que je me suis mise à pleurer... J..Je suis désolée, je suis ridicule... T..Tu n'est pas obligé de t'occuper de moi comme ça, je suis un peu bête, tu avais sûrement quelque chose à faire..."
Cette fois, du bouts des doigts, je lui releva le menton, plongeant mes yeux dans les siens. J'éspère qu'elle y lirait que j'tais vraiment désolé et que je n'étais qu'un pauvre type.
Mais pourquoi je l'avais laissée seule !!?
Je lus tellement de chose dans ses yeux.
-Ecoute moi bien Emma, je ne t'abbandonnerai jamais, je te l'ai dis : Nous simmes amis. D'accord ? Je te demande pardon... Et tu n'es pas ridicule, ni bête. Je suis là pour toi, ok ? Je ne t'abbandonnerai pas, c'est clair ?
Ma voix fût suppliante et dur à la fois, et je la serra à mon tour contre moi.
°Je t'en pris, cesse de pleurer.°

Depuis tout à l'heure, j'avais la tête basse, fixant l sol, et des larmes s'échappaient de mes yeux.
Seulement, il me fit relever la tête en saisissant mon menton. Surprise, j'écarquillais les yeux.
Puis, son regard croisa le miens. Sauf que cette fois, mon souffle en fus coupé. Son regard était doux mais strict à la fois, tellement bienveillant, calme et désespéré en même temps, et il ne traduisais que de la sincérité.
- Ecoute moi bien Emma, je ne t'abbandonnerai jamais, je te l'ai dis : Nous simmes amis. D'accord ? Je te demande pardon... Et tu n'es pas ridicule, ni bête. Je suis là pour toi, ok ? Je ne t'abbandonnerai pas, c'est clair ?
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine, et mes genoux tremblotèrent.
Je continuais de le fixer, incapable de ne plus le regarder, incapable de partir, incapable de le quitter.
Je mis ma main sur son épaule, et dis d'un ton calme, qui ne tremblais pas et par dessus tout, sincère.
- Alors, je crois que je ne pourrais plus te quitter.

Cette phrase, oui mon dieu, je crois qu'elle restera gravée à tout jamais.
Moi non plus je ne veux pas qu'elle me quitte, je ne veux pas la quitter.
Après tout, c'était mon double !
Je n'étais qu'un pauvre type de l'avoir laissée seule !
Je m'en voulais !
°Ooh Emma, si tu savais comme je m'en veux !°
Je n'allais pas la forcer à parler de ce qu'il lui arrivait, alors je me contenta de regarder au fond de ses yeux et d'embrasser son front.
-Tant mieu, parce que je ne croies pas que j'aurais la force de te voir partir.

Je crois que le ciel aurait pus nous tomber sur la tête, à ce moment là, ça ne m'aurais pas déranger. Je le regardais me fixer, et lui rendais son regard, heureuse, tout simplement.

Mais j'étais aussi énervée, parce que je ne trouvais pas de moyen plus fort que de l'enlacer pour lui faire comprendre à quel point il comptait pour moi. J'aurais voulu trouvée quelque chose de plus fort, mais j'avais beau me creuser la tête, je ne trouvais rien. Peut être que lui aurait une bonne idée ? Hum.

Puis je me mis à rire, joyeusement, d'un rire cristallin et doux, juste pour montrer comme j'étais heureuse.

Je te dois tout, Gareki.

Nous nous fixames un moment.
Puis, un rire doux sonna à mes oreilles. Emma.
Elle riait ?! Je sourit à mon tour.
Et souffla un grand coup, chassant le stress.
-Tu vas mieu ?

Je lui ébouriffais les cheveux en riant et me redressais, l'aidant à se relever.
Puis je retrouvais mon sérieux.
- Oui, je vais mieux, merci, gamin.
Je lui fis un clin d'oeil. Le mot gamin était un petit surnom affectif, et je trouvais que ça lui allais bien. Et puis c'état choupinou "gamin".
Je mis mon doigt sur son nez pour le faire loucher, allant vraiment beaucoup mieux et passant très vite d'une humeur à l'autre.

Je grognai en souriant quand elle m'ébourrifa les cheveux.
Puis je me relevai, et elle m'appela "Gamin" et je regrogna.
-Moi ? Un gamin ?
Vilaine, je détèste les surnom, mais bon.
Puis elle contibua de me rendre fou à lier en plaçant son doigts sur mon nez.
-Ca suffit.
Ris-je.

Je ris en l'entendant grogner, et me souvint du fait qu'il n'aimait pas les surnoms, j'haussais les épaules.
- Moi un gamin ?
Je ris de plus belle, oubliant toute ma tristesse.
- Tout à fait, un gros gamin.
Je lui tirai la langue, oui, je voulais le rendre fou sans doute .
Mais il me faisait rire, et c'était l'un des seuls.

C'est clair, elle me rendait dingue.
Mais qu'est ce que je n'aurais pas fais pour elle ? Si elle voulait m'envoyer en psychatrie, alors j'irai.
Pourquoi ? Parce que de toute façon, j'y serai forcemment allée un jour ou l'autre, alors autant y aller pour une personne qui comptait pour moi.
De même si elle voulait me faire vivre un enfer, puisque j'y vivais déjà... Quoique, je ne devrais pas dire cela !
J'ai la chance d'avoir une deuxième vie, une famille qui m'aime et qui me rend heureux, ainsi que la musique, qui comble une autre partit du trou béant qui est ouvert en moi, et surtout, une amie formidable qui me comprends et qui deviens énnormément pour moi, de plus en plus après chaque minute passée à lire dans nos yeux ce que l'on ne se dit pas à voix haute.
Oui, moi Gareki Teneshi, j'ai tout çà, alors non, je ne suis pas enfer. Juste sur terre, avec mon double...
-Oui, je suis un gamin, mais seulement quand je suis avec toi.
Je souris, comme je ne souris qu'avec elle et l'entraîne vers la scène.
-Je te joue un truc et tu chante pour moi ?

Je le regardais, souriant comme sourirait une gamine heureuse. Je me sentais bien, pouvais rire et sourire autant que je le voulais. Je me sentais légère, libre...
Puis mon sourire simple et heureux s'estompa, pour y faire apparaître un qui traduisait le fait que j'étais en train de réfléchir, tout en le regardant.
Pourquoi ? Pourquoi étais-je si heureuse avec lui ? Pourquoi avais-je l'impression que je pouvais tout faire, tout dire, mais que jamais je ne le perdrais ?
Tout simplement parce que, quand je le regardais, une expression indéfinissable naissait en moi. Je n'aurais su expliquer ce qui naissais en moi, quand je l'observais, le touchais, parlais avec lui et quand nous rions ensemble.
J'avais besoin de réfléchir, de comprendre, tout ce qui se passais en moi. Était-ce vraiment de l'amitié que je ressentais pour lui ? Non. Désormais, j'en étais sûr, c'était beaucoup plus fort. Immensément plus fort.
Est-ce que ça pourrais être...?
Non, je ne voulais pas y penser, pas y songer. Je ne voulais pas tomber amoureuse.
Je ne voulais pas briser cet équilibre parfait, je ne voulais pas le perdre, je ne voulais pas devenir... Non. C'était faux, je ne pouvais pas être amoureuse de lui. Et ne le serais jamais.
Cependant...
Non. Ferme là, juste pour cette fois, Emma.
-Je te joue un truc et tu chante pour moi ?
J'hochais la tête et montais sur la scène, mais quelque chose me marqua, le mot : pour.
Chanter pour lui ?
- Oui. On chante quoi ?

Elle me souriait comme souriait Tsubame lorsque je rentrais à la maison, comme quand Yobame est dans les parages, comme quand elle nous voit, nous : Sa famille;
Un sourire heureux, franc et d'enfant;
Ensuite, je "vis" c'est méninges tourner à plein régime et ne compris pas;
Un autre problème ? Si oui, lequel ?
Je devennais réelent barjot, ou pas ? Je veux dire, je devenais parano" ou effectivemment elle se torturait le cerveau ?
°Arrête de te rendre fou toi aussi, Gareki !°
Bon, pour une fois j'allais m'obeïr, mais je la voyais hésiter un instant, pour enfin répondre à ma question :
-Ben, ya deux minutes je chantais une chanson importante pour moi, "She will be loved", tu connais ?
En prenant la guitare, je jouais l'air du morceau afin qu'elle voille ou imagine la chanson, qu'elle la reconaisse;
Comme je le disais, cette chanson, c'était pour Tsubame, alors très importante pour moi;
Je regarda fixement Emma et attendit qu'elle me réponde .

Je le vis réfléchir, et devinais que c'était à cause de mon expression. Je soupirai intérieurement.
-Ben, ya deux minutes je chantais une chanson importante pour moi, "She will be loved", tu connais ?
Je fis un grand sourire.
J'adorais cette chanson, elle n'était pas forcément importante pour moi, mais elle était superbe.
- Oui ! Je connais. On chante ça ? No problem.
Je connaissais les paroles par coeur, ayant cette musique sur mon MP3.

Sa réponse fût positive et j'en souris doucement.
-Parfait, alors allons y.
Je me mis à jouer et la mélodie emplis mon esprit, alors je ferma les yeux et attendit que sa voix emplisse l'espace qui nous entourrait.
Le fait de jouer cette chanson me fit me rappeler :

/Flashback/

-Non ! S'teu plaiit ! Onii-Chan, je t'en supplie !
Sa petite bouille d'ange s''interopsait entre la télé et moi.
-Rhô, bouge Tsub', allé !
Elle me tira la langue en souriant quand on entendit des pleurs et des cris : Yobame.
D'un bond je me retrouva sur mes pieds et courus au dehors où Yo' gisait au sol, en larmes.
Je me ruai sur lui, l'attrapant par les épaules, l'appuyant sur mes genoux.
-Yo', qu'est ce qu'il y a ??!
Tsubame pleurait, inquiète pour son jumeau. 3papa et Maman" travaillaient et j'étais en charge des deux.
- Rien !
Grogna Yobame en me repoussant, énérvé. Il avait tenté de se relever mais tituba et me retomba dans les bras, une seringue tombant de sa poche : De la drogue.
Je sortis de mes gonds et l'injuria de toute mes force, l'emmenant aux urgences.
Je savais exactement ce que fesaent ce genre de drogues, et pour cause...
Bref, nous étions dans sa chambre à l'hosto' et je me mis à jouer cette chanson pour que les larmes de ma petite soeur sèchent.
Elle fût aux anges et m'enlaça le cou, finissant par sendormir dans mes bras;
Je lui avait joué sa chanson, et cela l'avait appaiée...
Je me promis de tout faire pour ne plus jamais les laisser tomber comme cela.
/

Je l'entendis commencer à jouer.
J'étais toujours impressionnée quand j'entendais jouer d'un instrument des gens, car je trouvais ça fantastique, le fait qu'il sorte une si jolie mélodie d'un objet.
Je pris une inspiration et me redressais, me mettant bien droite, et je commençais avec ma voix mielleuse.
- Beauty queen of only eighteen
She had some trouble with herself
He was always there to help her
She always belonged to someone else
I drove for miles and miles
And wound up at your door
I've had you so many times but somehow
I want more

Fantastique, je me souvenais parfaitement du premier couplet, au refrain maintenant. Je chantais, y mettant tout mon coeur.
- I don't mind spending everyday
Out on your corner in the pouring rain
Look for the girl with the broken smile
Ask her if she wants to stay awhile
And she will be loved
And she will be loved

Et je continuais, tandis que ma vois superbe emplissais la pièce.

Sa voix est magnifique ! Elle réussirai à transporter n'importe qui.
Y compris moi.
D'ailleurs, je relav la tête en rouvrant les yeux, en plus, le flashback m'avait fait trop mal, et j'avais eut du mal à respirer, j'avais encore du mal à respier.
Je m'approche doucement d'elle, et me mets à côté d'elle, la regardant, regardant ses lèvres chanter les paroles vec autant de facilitée.
Sa voix m'envoutait, me perturbait aussi, mais dans le bon sens du thèrme.
Nos coudes se frolaient et je lui souris, tandis que la chanson touchait à sa fin. Encore une phrase à jouer, à chanter...

Quand je chantais, je ne ressentais pas le froid de la pièce, seulement la chaleur des paroles que je chantaient et celle du sourire de Gareki. Je n'avais plus peur, ma voix ne tremblait jamais.
J'écoutais seulement la musique de l'instrument, et y ajoutais des paroles douces et que j'essayais de faire passer agréablement.

J'arrivais à la fin de la chanson, là je finis en faisant raisonner ma voix. Puis posais mon regard azur sur le garçon, désormais, j'avais les idées plus claires.
Et j'avais compris une chose importante, que je n'avouerai pas, du moins pas aujourd'hui.

La chanson prit fin dans un éclat de raisonnement de voix que je trouva magnifique.
Je suis tellement heureux que je la serra dans mes bras, la soulevant doucement du sol.
-Ooh, merci !
Soudainement, je me rends compte de mon acte et devient rouge vif.
-Pardon .
Dis-je, doucement, géné :3

Je rougis à mon tour quand il me pris dans ses bras, surprise.
-Ooh, merci !
Je ris, et le serais dans mes bras.
- Pardon .
Je ris de plus belle et embrassa sa joue.
- Ne t'inquiète pas, il n'y a pas de ,mal.